Qui vit de son métier de charpentier

Pour ma part j'arrive à survivre en travailalnt dans mon échoppe car ma compagne étant forgeron, nous avons ouvert une échoppe comune et nous travaillons en coopération. Ce qu'il faut c'est faire des duo charpentier-forgeron. Mais pour cela il faut vous trouvé une moitier et croisier les doigts qu'on vous achète vos oeuvres.

bonjour tous le monde

l idée que lance himura a l air pas mal
travailler en complémentarité avec quelq un est sans doute pas mal
Mais le faite de travailler tous ensemble l'est encore mieux.

Je suis à Fribourg en Confédération Helvétique. J'ai voté. Je vis bien de mon métier : 22 écus par jour, ce qui est bien pour Fribourg qui n'a pas de grilles de salaire (salaires bas, mais produits bas aussi).

Effectivement les villes à forests on moins besoin de charpentiers. Je dirait 3 charpentiers pour une forest et 4 ou 5 pour un verger. Les lacs je sais pas.

Mais une seule chose est sure : le nombre de charpentier, ça se surveille de près. D'ailleurs en regardant le marché on voit très vite ce qui se passe : les retraites, les nouveaux arrivants. On peut aussi faire un compte sur la halle et une surveillance en lien avec les infos de la douane. Sinon y'a le lavabo, mais ça rend toujours le jeu moins drosle ^^

Mais le mieux, c'est d'avoir un conseiller municipal qui controsle cela. Chargé des charpentiers et des forgerons il pourra ainsi :

• vérifier le nb de charpentiers
  
• inciter le maire à mettre un en mairie dès qu'il y a trop de charpentier un message déconseillant fortement le métier aux nouveaux artisans
  
• et le mieux, se voir confier un mandat avec fer et bois, qu'il vendra par petite quantité chaque jour, évitant ainsi le rachat massif par un seul artisans.

je suis à Dié et depuis que je suis charpentier, j'ai rien vendu, même pas un seau, le marché est saturé, et ne bouge pas. malgré mes efforts pour contacter tous mes confrères, 3 m'ont répondu seulement.
J'attends un peu encore leurs réponses pour trouver une solution

Je suis à Montargis et comme c'est une ville de bois, c'est assez difficile. J'essaie de trouver des solutions.

A voté.

Je n'irai pas jusqu'à dire que j'Y travaille tous les jours, étant donné que la vente des barques à Ventadour (qui se trouve aussi à être doté d'un port) est cyclique, si je puis dire. Pendant une semaine, les barques s'envolent à 131 écus, les rames sont à 20 et les stères à 3. L'autre semaine, les barques s'entassent, les rames aussi et c'est pénurie de bois.

Moi, pendant cette semaine là de vaches maigres, je pêche. Très prolifique l'association...

Bonjour... je suis également débutante dans le métier, cela fait un mois tout rond que j'ai touché une planche
Je ne peux pas dire que je vis raisonablement de mon métier
Pour l'instant je fabrique des seaux à la demande d'un forgeron... que je fais à prix réduits ou plus tôt prix d'amis...
Comme je suis dans un village de pêcheur je me suis lancé dans la construction d'une barque mais là pareil... j'ai vu le port s'entasser de barque à vendre. J'ai fini par trouver preneur au près de l'organisatrice des animations... qui l'offrira aux vainqueurs d'un des jeux.
On ne peut vraiment pas dire que je vis de mon métier

Je vis à Vaudemont en Lorraine, on possède un verger, on a donc une demande aux niveaux des échelles on est peu de charpentier, donc je vis assez bien en pratiquant des bas prix. je vends mes seaux non cerclés à un forgeron tous deux avons passés un accord, on vend à bas prix pour aider les villageois, on cherche pas à se faire du profit.

Pour les barques, en Lorraine nous n'avons pas de lac... on arrive tous de même à en vendre à un duché voisin, car la boulasse nous apporte des rames qui nous sont inutiles, alors on fait marcher le commerce extérieur.


J'ai voté.

Je suis charpentier depuis quelques semaines déja et je travaille chaque jour dans mon échoppe.

La filière lait nous permet de maintenir un rythme de consomation de seaux suffisant et bien qu'il y ait parfois quelques tension en tre les différents acteurs de la filière, les conditions actuelles me garantissent une rémunération quotidienne de 25 écus.

Les stères de bois sont vendus selon les périodes entre 4,61 et 4,81 écus.
Je vends mes seaux non cerclés entre 29,65 et 29,85 écus. Aujourd'hui, mon stocks de produits finis est de 5. Il est vrai qu'il a rarement été aussi important aussi je craint de voir la situation doucement se dégrader.

Je ne produit rien d'autre que des seaux non cerclés.

A lire les réponses précédentes, j'imagine qu'il est plus compliqué d'être artisan charpentier dans les villages pourvu d'un port. Dans mon village, nous possédons un verger... Un avantage de plus.

++ La_Barrique

Je suis niveau 3 donc je laisse le travail aux niveaux 2, c'est normal!